content="text/html; charset=iso-8859-1"> Les Commerces Saint Antoine - Oran

Le Quartier St Antoine et ses Commerces

 


ALBERT GANGA .

S’il existe des souvenirs d’anciens de notre quartier celui d’Albert GANGA ne fait pas exception !
Excellent camarade il fit partie de l’équipe championne d’Oranie en 1947- 1948 avec des joueurs prestigieux comme Ernest GUTTIEREZ
tout juste sorti de l’équipe juniors et Norbert SALARD grand espoir de
notre club !
Aujourd’hui nous croyons savoir qu’il passe avec sa famille une retraite heureuse aux Etats-Unis !
Qu’il sache que nous ne l’oublions pas et que le CALO était fier d’avoir eu des joueurs comme lui dans son équipe !

En direct avec François ARTERO !

Dans notre quartier, comme ailleurs, nous possédions des artistes sans le savoir ! Grande fût notre surprise quand une exposition de tableaux nous appris que les œuvres exposées étaient celles d’un certain François ARTERO de St Antoine d’Oran et qui plus est un joueur de l’équipe du CALO .
Notre joie et notre fierté fût grande et encore une fois nous n’avons pas pu rester insensibles à tant de talent .
Nous nous sommes souvenus du temps de sa carriére de Footballeur au club du quartier et rappeler que François était le polyvalent de l’équipe !!!
Un artiste ne peut rien refuser et lui en était un !
BRAVO FRANCOIS ET SURTOUT RESTE NOUS FIDELE . . . .

Fiche Technique d'Alphonse Granero

Issue d'une famille de St Antoine et par conséquent ayant fréquenté comme tous ces amis de ce grand quartier, l' école du village nègre, oh! Pardon l'école Pasteur, Alphonse a appris a taper dans une pelote de tennis dans la cour de l'école et surtout dans la rue ! Cela ne l'empêcha pas de faire de brillantes études et définir sa carrière comme Officier de Police (spécialisé dans la section canine) Inconditionnel du CALO, et fin technicien malgré un embonpoint certain il fût à l'origine de la mise en place de l'Epuipe des Anciens . Comment alors ne pas le faire participer à ces matchs surtout qu'il possédait toute la qualité essentielle à savoir la technique en mouvement et un sens du jeu collectif peu commun. Titulaire du poste d'intérieur droit il avait pour mission d'approvisionner ses attaquants en bons ballons. Les résultats sur le terrain ont toujours donné raisons aux responsables lui ayant fait confiance. Sacré Alphonse, tu ne laisses que d'excellents souvenirs
Dommage que l'accident dont tu as été victime, ne nous est pas permis de profiter d'avantage de ta présence ! SALUT ALPHONSE! Anciens du CALO
Saison 1957 -1958

Essayer donc de vous trouver !!!!
Découverte du Quartier !

LA FAMILLE JOYET .

Issue de vieille souche de St Antoine, la famille JOYET commerçants connus et appréciés dans le quartier, et de plus ce qui ne gâte rien, supporters du CALO , avaient pignons sur rue et se distinguaient par leurs bonnes actions vis-à-vis de l’entourage auquel ils étaient confrontés !
Un des fils Marcel pour ne pas le citer, a participé comme dirigeant et notamment a la Commission des Jeunes du CALO et a la remontée du club au plus haut niveau de la Ligue d’Oranie de Football .
De plus nous ne pouvons passer sous silence l’aide que nous a apporté la famille JOYET pour l’installation d’un gardien de but venu tout droit du Cavigal de Nice, afin de lui permettre de se loger et surtout de vivre un séjour heureux dans notre belle ville d’ORAN!
Pour tout cela et pour beaucoup d’autres choses nous avons voulu rendre un grand hommage et leur dire combien nous avons été fiers de les avoir eu a nos côtés pendant la période ou le club de notre petit coin de quartier en avait bien besoin !
Merci encore et toujours et VIVE ST ANTOINE !

ORAN est une ville absolument européenne.

Pourtant, elle ne compte que 25.000 Français !sur prés de cent mille habitants .Prés de 40.000 sont d’origine espagnole...Touring Club de France 1902

Deux Grosses Pointures de St Antoine !

Comment voulez-vous parler du quartier et de son club et occulter certaines personnes qui se sont volontairement mis à la disposition des dirigeants !

Deux de ces habitants méritent ces quelques lignes bien modestes car leur travail et leur dévouement méritent bien plus que ces quelques mots déversés sur une feuille de papier .En effet ces deux personnes avaient pris la décision de créer des chorales avec les supporters et amis du club, afin d’encourager nos joueurs lors des compétitions officielles ou non !

La réussite fût totale, un s’occupant des populaires, l’autre prenant en charge les tribunes .Cela nous vous l’assurons profitât aux maximum aux joueurs qui voyaient là un atout supplémentaires devant leurs adversaires.

Ces deux personnes que nous voudrions remercier sont : Celle des populaires le symphatique et apprécié le fameux chef notre ami BLOCH et le second :

Non mois connu et s’occupant lui des des tribunes notre ami également le sieur José CRIADO .

Gloire et remerciements de tous les habitants du quartier St Antoine pour leur dévouement à la cause du plus beau quartier d’ORAN ou en tout cas des plus sympa ! ! !

Des Antonins !
Ils sont tous nés à St Antoine

LA Famille Andreu

Si par hasard,vous venez à parler de Sidi-Bel-Abbés, une voix se fait entendre illico C'est celle de Joseph ANDREU, qui malgré le nombre d'années qu'ils habitent St Antoine,ont toujours gardés la nostalgie de leur ville natale .
En effet à la suite de convenances personnelles et professionnelles, la famille ANDREU décide de s'implanter à St Antoine,quartier qui comme celui qu'ils venaient de quitter,était un endroit vivant, gai et populaire .
Natif tous de cette contrée ou le FootBall était Roi,l'aîné des garçons Joseph aidé de son frère Jean- Claude, commencèrent à tripoter la balle à l'ASBA ou ils firent leurs premières armes .
Une opportunité de rencontre avec des Dirigeants de St Eugéne, plus Prompt que ceux de notre Club,Joseph s'en alla exercer son talent à la JSSE ou il fera pratiquement toute sa carrière . Son frère lui préféra se diriger vers la préparation de concours pour intégrer la Police Nationale ou il finira d'ailleurs sa vie professionnelle .
En 1957 à la suite de différend avec son Président il décide d'arrêter le Foot pour se consacrer au HandBall où il fait une saison des plus honorables. Mais sa passion le foot lui manque et comme il habite la Rue de Tlemcen avec tous les copains du quartier il forme une équipe de Vétérans avec qui il va reprendre goût a la compétition Le voilà donc repartit pour une deuxième carrière… !!I,
Suivant les conseils de son collègue (Jean BASTIEN) signe une licence de Vétérans pour s'amuser aime -t-il à dire !
La suite vous la connaissez -tous! capitaine de l'équipe jusqu'a l'exode de 1962 il sera la présent a tous les matchs et remplira avec succès son rôle de capitaine !
Nous pensons avoir oublier de dire que la Famille ANDEU avait aussi des Filles et que également elles ont pu se faire apprécier dans notre quartier . La Maman pour pouvoir aider toute cette petite famille à vivre mieux distribué le lait frais le matin par le biais de porte de la salle à manger !


LA FAMILLE ANDREU .
En Direct de la Rue de Tlemcen

ENCORE UNE DE PLUS !


Les Grandes Familles de St ANTOINE !

L’Entreprise de maçonnerie CORBI Père et Fils.

La Famille CORBI fût certainement une des plus anciennes, de ce quartier populaire d’ORAN .
Le Grand-Pére CORBI excellent maçon, décida avec l’aide de ses enfants de créer sa propre entreprise, qui progressa très rapidement.
Deux de ses fils furent responsabilisés dans l’affaire familiale.
Le Siége Social se trouvait Rue St André et le dépôt du matériel à la Rue Sidi-Snoussi ou une grande cour permettait de stocker les matériaux. Ces deux entrées apportaient incontestablement une notoriété et un sérieux important.
Pensez donc deux accès pour une seule affaire !
Le travail ne manquait pas et tous s’adonnaient à la tache.
Malheuresement le destin en décida autrement.
François un des garçons qui pratiquait l’Athlétisme, mal préparé peut-être à des efforts physiques important lors d’une compétition mourut quelques mois après.
Ce fût un coup très dur pour l’Entreprise Familiale.
Son deuxième fils Manolico continua tant qu’il pût à faire marcher le gagne pain Familiale, mais cela ne suffisait plus, car la maisonnée ayant grandi, trois filles et le tout dernier un garçon Félix qui se dirigea vers les beaux arts.
La Grand-mére CORBI vint à disparaître à son tour et ce fût l’éclatement de cette belle Entreptise digne de nos Ancêtres et dont nous sommes tous très fiers.
Il est bon de préciser que tous les membres de cette famille ont eu un parcours digne des Français qui ont fait de l’Algérie ce pays prospère et riche que nous avons été obligés de quitter.Quel gâchis !
Nous nous sommes laisser dire que même CAMUS a parait-il fréquenté l’Ecole Pasteur du Village Nègre !


Dans la vie de tous un chacun , il arrive parfois de se dire qu'il faut savoir tirait un trait. Mais de se dire aussi qu'il faut essayer autant que possible de ne pas commettre d'impair par rapport à des adhérents qui ont tous donnés pour faire plaisir et rendre nos soirées attrayantes et pleines de gaieté .
René FERRA fût un des adhérents qui rentré dans notre Amicale par la petite porte est devenu par ces qualités d'interprète, d'amuseur, de footballeur, de conteur et que sais-je encore de devenir sans s'en apercevoir « La Valeur Montante » de toutes nos réunions !
Un seul défaut peut-être sa qualité plus que moyenne à la Pétanque ! Mais il est encore jeune et il possède les qualités pour s'améliorer
Un charmant garçon, pour qui tous les Anciens du CALO sont fiers de posséder au sein de leur Amicale .
Le Monument aux Morts d'Oran (ci-contre) fut édifié en l'hommage aux pieds-noirs qui prirent, à plusieurs reprises, les armes et allèrent se battre pour défendre et sauver la France. Du port, à l'arrière de ce monument, partirent les bateaux emmenant toute la jeunesse pied
noir vers les combats qui devaient délivrer la France. Malheureusement, la France a, dans sa mémoire, un trou énorme...c'est intolérable ! Alors les enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants de ces pieds noirs se posent beaucoup de questions. Il faudra qu'un jour la France explique à ses enfants les décisions politiques et militaires désastreuses qui furent prises pendant la guerre d'Algérie et particulièrement les dernières années de note présence sur notre terre natale. Et surtout la France devra dire clairement pourquoi elle accepta et favorisa honteusement le départ des pieds-noirs dans les conditions terribles et cruelles que vous connaissez.
Pierrot ASENSI

Les Anciens du Calo - le Foot à Oran

 
 
 
 
 
 
 
 

webmestre